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Faut-il reconnaître une liberté fondamentale de prendre des risques ?
Conférence du 16 novembre 2015 de Hugo Barbier, agrégé des Facultés de droit à l’Université Aix-Marseille, directeur du Master recherche Droit économique.
Le droit, particulièrement le droit des affaires, ne peut s’en tenir à une fonction de police des acteurs économiques, d’encadrement du commerce. Il doit revêtir une fonction plus positive et dynamique, être lui aussi un moteur de l’économie. D’où le besoin de forger des normes qui ne soient pas seulement négatives, dissuasives, et finalement paralysantes mais des normes qui soient positives, constructives et dynamisantes. C’est à ce titre que se pose aujourd’hui la question de savoir si à côté de la myriade de normes de sécurité, principe de précaution en tête, il n’y a pas place en contrepoids à une reconnaissance normative d’une liberté de prendre des risques.
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