La régulation des rapports économiques et sociaux ne peut trouver sa pleine efficacité que si elle prend en considération la situation personnelle des différents acteurs concernés.

Depuis de nombreuses années, les exemples n’ont pas manqué d’illustrer la nécessaire prise en compte des intérêts opposés gérés par une même personne physique ou morale, ou par des ensembles plus vastes, voire par certaines professions.

La volonté de transparence de nos sociétés, la recherche de clarté dans l’examen de secteurs économiques de plus en plus complexes, ont remis en cause la légitimité, quand ce n’est pas la légalité, de certaines pratiques et de certaines législations.

Cette évolution, soyons-en certains, va continuer. Les exemples et les réflexions sont les mêmes dans la plupart des pays industrialisés.

Un colloque consacré à ce sujet a permis, par l’analyse du présent, tant en France qu’à l’étranger, d’appréhender les instruments des évolutions prévisibles.